Support PS5 5-en-1 peu encombrant】: Le support PS5 5-en-1 spécialement conçu pour la ps5 accessoire combine le refroidissement, le crochet pour casque, la position de placement de la console playstation 5, l'emplacement de chargement du contrôleur double et l'emplacement de placement de la télécommande. Économisez de l'espace, facilitez les jeux et utilisez-le à tout
Demon’s Souls est assurément le meilleur jeu du line-up de la PlayStation 5. Infiniment beau, diablement exigeant et résolument sensationnel. Il y a quelque chose de profondément fascinant avec Demon’s Souls. On peut s’imaginer dire à un ami qu’on n’ y arrivera jamais, après avoir passé une heure à atteindre le premier boss, en succombant aux pièges tendus par le jeu, un à un c’est du vécu. Mais on y revient, inlassablement, sans trop comprendre pourquoi, comme si l’on refusait de se réveiller d’un cauchemar. N’y a-t-il pas mieux à faire que de s’entêter ? Peut-être pas. Demon’s Souls appartient à la caste des jeux enivrants, ceux qui charment par leurs graphismes et leur gameplay pour mieux accabler ensuite. Il célèbre la mort pour donner vie à un sentiment d’accomplissement sans pareil. Demon’s Souls n’est pas un jeu inédit. Développé par From Software, il est sorti en 2009 sur PlayStation 3. Sony a décidé de lui offrir une version flambant neuf, en commandant un remake à Bluepoint Game. Le studio est un habitué de l’exercice c’est à lui que l’on doit la formidable remise au goût du jour de Shadow of the Colossus. Avant cela, il s’était occupé de la remasterisation PS4 de la trilogie Uncharted. En passant par ce développeur, Demon’s Souls revient dans un meilleur écrin, sachant que l’essence de l’expérience a été préservée — la difficulté en tête. Pour aller plus loin Demon's SoulsSource From Software Le plus beau jeu de la PS5 Transparence Ce test a été réalisé par quelqu’un qui n’a pas joué au Demon’s Souls original. Le saviez-vous ? Demon’s Souls est le seul jeu console vraiment next-gen de 2020. Il ne sort ni sur PC ni sur une ancienne console. Ce statut inédit lui permet d’afficher des graphismes époustouflants. Il y a tellement de matière à l’écran qu’on a sans cesse envie de regarder partout, quitte à perdre le fil d’une expérience pourtant exigeante. L’univers lugubre de Demon’s Souls est transcendé par la puissance de la PS5. Tout est prétexte à la contemplation les étendues à perte de vue, les lumières symboles d’espoir, la qualité des textures, la modélisation des monstres toujours plus flippants, les quelques reflets qui habillent les décors sans ray tracing variés, les effets visuels qui abondent les cendres qui s’échappent d’un feu… Demon’s Souls était un diamant brut sur PS3, il est désormais poli et étincelant sur PS5. On croyait que Marvel’s Spider-Man Miles Morales était le plus beau. Le superhéros doit pourtant s’incliner face au travail d’orfèvre abattu par Bluepoint. L’univers lugubre de Demon’s Souls est transcendé par la puissance de la PS5 En prime, Demon’s Souls s’appuie sur une solidité technique qui a parfois fait défaut aux précédentes productions de From Software. Les caractéristiques de la PlayStation 5 lui permettent d’éviter plusieurs désagréments, notamment des ralentissements qui pouvaient signifier une mort assurée par le passé. Il y a aussi l’apport indéniable du SSD, garantissant des temps de chargements qui ne durent qu’une poignée de secondes — un luxe quand on enchaîne les échecs. Il est simplement dommage d’avoir à choisir entre la fidélité visuelle mode cinématique ou la fluidité mode performance. L’alliance des deux sera visiblement pour plus tard, sachant qu’on aura tendance à privilégier le framerate dans une production exigeante comme Demon’s Souls. Le RPG orienté action mise beaucoup sur son ambiance pour plonger le joueur dans un enfer dont il est a priori difficile de réchapper. Sur ce point, la bande son participe pour beaucoup à l’immersion. Au détour d’une mine, on entend au loin les pioches s’abattre sur les roches en attendant notre propre tête. Au sommet de tours beaucoup trop élevées, on peut percevoir des bruits de larves provenant du bas. Dans une forteresse délabrée, on est assailli par les cris stridents des goules décharnées qui traînent leur misère en attendant le coup de grâce. Il y a toujours quelque chose qui va arriver à vos oreilles pour vous faire douter et inciter à avancer pas à pas. Demon’s Souls n’est pas un survival-horror, mais il en a l’allure — surtout avec un rendu audio 3D. Demon's SoulsSource From Software Accrochez-vous Quid de la DualSense ?On attend forcément beaucoup de l’exploitation de la DualSense avec une exclusivité comme Demon’s Souls. Si Bluepoint a quelque peu mis de côté les gâchettes adaptatives sauf pour les arcs, il a parfaitement compris comment faire ressentir au mieux les choses avec le retour haptique et le haut-parleur. Les vibrations très subtiles de la manette accompagnent le joueur dans son tourment. Et c’est un vrai plus pour s’y croire. Avant que Dark Souls ne devienne Dark Souls, que Sekiro Shadows Die Twice ne devienne Sekiro Shadows Die Twice ou encore que Bloodborne ne devienne Bloodborne, il y a eu Demon’s Souls. Pour From Software, l’exclusivité PS3 fut un moyen de poser les bases d’un sous-genre sur lequel il règne désormais en maître. Demon’s Souls ressemble parfois à un terrain d’expérimentations le double boss que l’on retrouve dans le premier Dark Souls, le boss géant que l’on abat facilement repris dans Dark Souls 3, la composante multijoueur, le design des niveaux…. Mais ce serait oublier qu’il était déjà bien abouti. Pour preuve, Bluepoint n’a pratiquement rien changé, à tel point que l’on retrouve les petites astuces pour se faciliter la tâche à certains moments. À quelques détails ergonomiques près, le studio n’a pas voulu trahir le joyau de From Software — les fans de la première heure apprécieront, quand bien même certains auraient bien aimé des éléments inédits pour vivre autre chose et ne pas tomber dans le déjà -vu. Demon’s Souls repose plus que jamais sur le sentiment d’accomplissement. L’aventure est truffée de pièges, de faux espoirs, de réussites un peu et d’échecs beaucoup. From Software ne prend pas la peine d’accompagner les premiers pas du joueur, lâché face à l’inconnu et dans l’obligation de fouiner pour comprendre ce qui se passe. Demon’s Souls s’appuie beaucoup sur la narration indirecte pour distiller des informations importantes. Cela peut-être la description d’un objet important ou la phrase d’un rare dialogue. Tout juste sait-on que l’héroïne ou le héros se retrouve dans le royaume de Boletaria, au bord de l’implosion depuis que son Roi a joué avec le feu. Depuis le Nexus, il va falloir voyager vers les cinq Archipierres pour récupérer l’âme des démons qui y sévissent. Débrouillez-vous avec cela. Demon's SoulsSource From Software Si vous connaissez les productions de From Software, le gameplay de Demon’s Souls ne vous dépaysera pas. Il s’articule toujours autour d’une gestion de sa jauge d’endurance qui régit le nombre d’actions, un apprentissage des attaques ennemies pour les éviter et riposter au bon moment et à un sens de l’observation inouï pour ne pas se perdre dans des environnements labyrinthiques. Oui, Demon’s Souls est exigeant, ce qui ne veut pas dire qu’il en devient punitif. La mort est liée à une erreur de votre part et toute l’astuce est de ne pas la reproduire sur la tentative suivante. Dans Demon’s Souls, la victoire se mérite et demande un sens affirmé de l’abnégation et de l’acceptation de l’échec. Vous en aurez certainement des cauchemars, avant de vous prendre à rêver de sessions de jeu meilleures. Pour aller plus loin Demon's SoulsSource From Software Un hub vers cinq enfers Contrairement aux Dark Souls, Demon’s Souls passe par un hub servant de pont vers cinq régions différentes, découpées en petites zones. La structure, bien pensée, n’encourage pas forcément à enchaîner les niveaux dans un ordre qui paraîtrait logique 1-1, puis 1-2, puis 1-3…. Dans les faits, l’épopée est beaucoup moins linéaire. Avec son découpage, Demon’s Souls force plutôt les joueurs à faire des allers-retours entre les Archipierres en fonction de leur niveau, de leur équipement et de leur aisance. Vous butez sur un boss ? Peut-être que vous récupérerez une arme plus forte dans un autre niveau. De cette manière, Demon’s Souls limite le sentiment de frustration qui pourrait survenir face à l’impossibilité de franchir un passage problématique. Prévoyez de longues heures devant vous Le RPG offre le choix dans la construction du personnage, qui peut devenir un pur guerrier spécialiste du corps-à -corps, un mage disposant de sorts dévastateurs au prix d’une vulnérabilité parfois problématique, un voleur, un mélange de tout cela… Les possibilités sont nombreuses et, compte tenu de l’âge du jeu, on trouve déjà des builds sur internet. Cela peut aiguiller celles et ceux qui découvriraient Demon’s Souls aujourd’hui et ne sauraient pas par où commencer. Par ailleurs, vous pourrez profiter des quelques aides fournies aux abonnés PlayStation Plus dans l’onglet Activités » les vidéos restent trop courtes pour obtenir une vraie assistance. La durée de vie de Demon’s Souls dépend de beaucoup de paramètres, à commencer par votre expérience avec le genre. S’il s’agit de votre baptême du feu, prévoyez de longues heures devant vous et n’hésitez pas à éplucher les nombreuses ressources disponibles sur internet tutoriels, guides, conseils, explications. Bien évidemment, From Software a peuplé son jeu d’une foule de secrets à percer pour récupérer toutes les armures, les sorts, les armes, les miracles ou encore les bagues. Malgré son univers lugubre qui donne envie de fuir au plus vite, Demon’s Souls invite paradoxalement à l’exploration. Mieux, il récompense les plus téméraires, qui chercheront par tous les moyens à atteindre cet objet de prime abord impossible à aller chercher. Le verdict On a aimé D'une beauté phénoménale Gameplay et structure intacts, toujours d'actualité Le sentiment qu'il procure est sans rival On a moins aimé Deux modes d'affichage Zéro vraie nouveauté dans le contenu Ouin ouin, c'est trop dur La PlayStation 5 a déjà sa première pépite et, paradoxalement, il s’agit du remake d’un jeu ultra exigeant. D’une beauté phénoménale, Demon’s Souls arrive sur la nouvelle console pour faire vivre un cauchemar à ses propriétaires. Autant les avertir tout de suite le jeu, développé à l’origine par From Software et revigoré par le spécialiste Bluepoint Games, représente parfois une montagne trop dure à gravir. Mais c’est autour de ce défi que s’articule toute l’expérience. La version PS5 de Demon’s Souls apparaîtra comme un formidable hommage aux yeux des fans. Bluepoint Games l’a débarrassé des pépins techniques d’antan, tout en conservant l’essence et le gameplay. Il en ressort un jeu aux qualités intactes, transcendé visuellement et techniquement par un bond de deux générations de la PS3 à la PS5, il n’y avait pas qu’un pas. Demon’s Souls, ou la vitrine gamer.
Gameplayde Ratchet & Clank (PS4) en PS5 (4k - 60FPS)#Ratchet&Clank #PS5 #PlayStation5
Plus de 5 ans après la sortie de son dernier opus sur PlayStation 4, le Lombax le plus connu du jeu vidéo revient le 11 juin prochain en exclusivité sur PlayStation 5. Il aura la difficile mission de faire patienter les joueurs dans une année de pandémie très maigre en sorties exclusives next-gen après seulement les sorties de Demon's Soul et Returnal depuis l'arrivée de la PS5 sur le marché. Que nous réserve cette nouvelle aventure aux côtés de Ratchet et Clank ? Les prouesses techniques annoncées par Sony concernant leur nouvelle console sont elles respectées et bien présentes ? Nous vous expliquons tout dans notre test complet de Ratchet & Clank Rift Apart. Genre Action/Plateforme Date de sortie 11 juin 2021 Plateforme PS5 Développeur Insomniac Games Éditeur Sony Prix 61,99 € Amazon Testé sur PS5 Un Lombax peut en cacher un autre ! Cela n'aura échappé à personne, mais la grande nouveauté de cet opus de Ratchet & Clank est l'introduction dans l'univers du jeu d'un second personnage "principal" nommé Rivet. Cette dernière est tout simplement le double dimensionnel féminin de Ratchet et se retrouve malgré elle dans une guerre dimensionnelle amenée par le Docteur Nefarious, le grand méchant provenant du monde de nos héros. L'histoire prend place plusieurs années après que Ratchet &Clank ont une nouvelle fois sauvé le monde ; ces derniers s'ennuient un peu depuis qu'ils n'ont plus de super vilains à corriger et ils se retrouvent à être les stars de défilés et autres conventions organisés sur leur planète. L'ajout d'un personnage tel que Rivet est un grand bol d'air frais pour la licence qui ouvre ses possibilités de narration et de scénario à une plus grande échelle, notamment quand les dimensions alternatives rentrent en jeu. On aurait pu craindre la facilité scénaristique quant à ce sujet, mais force est de constater que le jeu nous amène ça de manière plutôt intelligente tout en étant très accessible à comprendre pour un large public. Nous éviterons de trop vous en dire pour ne pas gâcher l'intrigue de l'histoire et les raisons qui font que les dimensions entrent en collision, mais sachez que Clank en est la source et qu'il a sous-estimé l'une de ses créations. Rivet, un personnage profond et attachant Pour en revenir à notre nouvelle protagoniste, il faut savoir qu'elle occupe une place prépondérante dans le jeu, voire même parfois supérieure à celle de Ratchet qui se retrouve parfois relégué au second plan. Ce qui n'est pas du tout un mal tellement Rivet se montre attachante et surprenante dans sa personnalité, en nous donnant toujours l'envie d'avancer dans l'histoire pour en voir le développement final. A noter que Clank ne sera pas en reste avec un traitement bien équilibré à base d'humour "froid" qui caractérise son personnage robotique et savant. Néanmoins, un quatrième personnage d'une grande importance sera de la partie, mais on ne vous en dira pas davantage pour ne pas vous enlever le plaisir de la découverte ! De notre côté, nous avons adoré les différents twists autour des nouveaux personnages ainsi que leur développement qui donne une vraie densité au scénario qui se veut être plus qu'un simple divertissement pour les jeunes. De l'action, des armes et des boulons ! La licence Ratchet & Clank est bien connue pour ne pas être un jeu de plateforme traditionnel, mais plus un jeu qui se situe entre l'action et l'aventure. Rift Apart ne fait pas exception à la règle et va même un peu plus loin que ces prédécesseurs avec des phases d'action plus présentes et dynamiques. En effet, il est possible pour le joueur d'utiliser une nouvelle mécanique propre à ce nouvel opus l'utilisation de failles dimensionnelles. Ces dernières sont représentées par des failles bleues qui deviennent jaunes lorsqu'elles sont à portée d'utilisation. Cela permet, une fois une faille activée, de s'avancer jusqu'à l'endroit où elle était située afin de nous donner un avantage en combat en se rapprochant des ennemis ou en les contournant pour mieux les surprendre. Cependant, les failles dimensionnelles ne sont pas les seules nouveautés qui vous permettront de tabasser du méchant tout au long de l'aventure ! Le large arsenal d'armes mises à disposition du joueur est une marque de fabrique de la licence Ratchet & Clank et ce nouvel épisode ne fait pas exception à la règle. En effet, c'est même plus d'une vingtaine d'armes qui sont présentes dans le jeu et qui possèdent toutes un gameplay propre pouvant contenter l'ensemble des joueurs. Tout y passe les pistolets, les fusils spatiaux, le sniper pour exploser des têtes, le lance-roquettes pour ceux qui auront une approche directe, des gants lançant des bombes ou qui invoquent des alliés originaux on vous laissera les découvrir !, des foreuses à tête chercheuse, et même des disques volants ! Toutes ces armes sont à acheter auprès de Madame Zurkon qui vous suivra dans tous vos déplacements afin de vous proposer de nouvelles armes en échange de vos boulons amassés pendant l'aventure, soit en tuant des ennemis, soit en détruisant des caisses disséminées dans le jeu ! Mais ce n'est pas tout puisque de la même manière que les épisodes précédents, toutes vos armes peuvent gagner de l'expérience et ainsi vous permettent de débloquer un arbre de talents qui viendront améliorer vos joujoux. Celui-ci vous propose des compétences qui pourront être échangées contre des cristaux — à récupérer dans des endroits bien cachés sur les différentes planètes— ou bien en venant à bout des monstres élites ou des Boss. On notera une belle utilisation des fonctionnalités de la Dualsense, qui permet aux armes notamment d'avoir deux tirs différents en fonction de la pression qui est exercée sur les gâchettes. Les vibrations nous font ressentir toute la puissance des armes, ainsi que les changements climatiques comme la pluie qui se ressent littéralement dans la paume de nos mains un peu comme l'avait fait précédemment Astro's Playroom. Une alchimie parfaite donc entre le nouveau matériel et le gameplay proposé, c'est un point sur lequel on attendait au tournant ce Ratchet & Clank et il est bon de constater que les développeurs d'Insomniac Games n'ont pas raté le coche ! Enfin, dernier ajout intéressant sur lequel on pourrait s'attarder les sets d'armures à récupérer, qui octroieront différents bonus à Ratchet et Rivet lorsque vous les débloquerez. Il vous sera bien sûr possible de personnaliser vos ensembles d'armures casque, torse et jambes comme il vous plaira et chaque pièce d'armure apportera des bonus de tous types — un pourcentage de boulons gagnés supplémentaires, des bonus de défense ou d'attaque pour vos armes et vos coups au corps-à -corps, ou encore des statistiques améliorées lorsque vous rencontrerez certains types d'ennemis. Ces armures se trouvent généralement dans des failles dimensionnelles cachées qui vous demanderont de parcourir un petit niveau de plateformes, mais pourront être également trouvées dans un recoin d'une planète ou bien en récompense du mode arène disponible dans le jeu. Pour terminer, on aura aussi différents objets annexes à récupérer — comme toujours dans les Ratchet & Clank des boulons dorés ils débloquent notamment des skins d'armes, de vaisseaux et des codes très fun, des ours en peluche, des robots espions et d'autres surprises ! Techniquement infaillible ? Ratchet & Clank Rift Apart est très attendu à l'aube de sa sortie le 11 juin prochain, car il se positionne comme un étendard pour montrer ce dont la PlayStation 5 est capable avec son SSD. Le jeu tourne autour d'une mécanique appuyée et bien mise en avant par Sony, les failles dimensionnelles, qui permettront à nos héros de sauter d'une dimension à une autre instantanément, et ce sans le moindre temps de chargement. Force est de constater que le contrat est rempli sur le rendu final et sur la promesse des changements de dimension instantané. Néanmoins, il faut souligner que les failles de ce genre — celles qui permettent de changer de dimension — ne sont pas si présentes que ça sur le jeu vous aurez l'occasion de croiser énormément de failles, bien sûr, mais ce seront pour la plupart celles qu'il faut activer et utiliser lors des explorations et de vos combats. Ces dernières sont des failles jaunes qui permettent de faire des sauts vers l'avant directement d'une plateforme à une autre de manière directe, mais toujours dans le même monde. Comme dit ci-dessus, les failles qui rendent possible un switch d'un monde à l'autre sans aucun temps de chargement ne sont pas majoritaires dans le jeu et parfois, elles sont également scriptées et liées à une action imposée par le jeu — comme par exemple des changements de dimension lorsque nous sommes sur des rails et que le jeu défile naturellement dans son script. Alors on vous rassure tout de suite, l'effet "wow" est bel et bien présent que l'action soit scriptée ou non car la promesse est tenue. Oui, il n'y a effectivement aucun temps de chargement lorsque des changements de dimension sont réalisés ou lorsque que vous changerez de planète avec votre vaisseau. Cela est sûrement dû à une utilisation très intelligente et optimisée des cut-scenes qui permet au final au joueur de ne jamais se retrouver face à un temps d'attente où il sera inactif. Il y a réellement peu de choses à reprocher à ce Ratchet & Clank A Rift Apart sur son aspect technique et sur sa réalisation. En dehors du système de failles très lourdement marketé qui, au final, est moins présent que ce qu'on aurait pu espérer, le jeu est d'une générosité folle dans sa réalisation et l'histoire qu'il nous raconte. A chaque changement de dimension, de planète ou de plan, on se retrouve à avoir les yeux qui brillent tant la qualité d'animation et les choix de colorimétrie sont bons. A noter que, lors de notre test, nous n'avons pu essayer que le mode "Fidélité" — qui est limité à 30 fps et les graphismes optimisés le mode Performance, quant à lui, sera disponible une fois le patch day one passé pour permettre aux joueurs d'avoir le choix entre le rendu graphique et la fluidité du gameplay. Cependant, jouer à Ratchet & Clank à 30 fps n'a posé aucun problème puisque c'est un jeu qui s'y prête totalement de base et qu'à aucun moment on a ressenti une chute de fps ou des phases handicapées par le fait que le jeu ne soit pas en 60 fps. Ce sera réellement aux joueurs de choisir ce qu'ils préfèrent pour leur expérience de jeu ; dans les deux cas, il sera difficile de faire la fine bouche devant le travail réalisé par les développeurs d'Insomniac Games, qui prouvent une nouvelle fois leur maîtrise et savoir faire lorsqu'il s'agit de créer un jeu vidéo. C'est indéniable, Insomniac Games est un studio qui possède des développeurs de talent et ce Ratchet & Clank A Rift Apart nous le prouve tout du long. On peut regretter une durée de vie un peu légère et un système de failles qui se veut plus timide que ce qui a été annoncé. Il est malgré tout difficile de nier que le rendu final est époustouflant et que le jeu n'aurait pas du tout la même saveur sur PS4, ce qui explique son exclusivité sur PS5. Cette impression de jouer à un jeu d'une qualité digne d'un film d'animation des studios Pixar voire mieux, avec autant de générosité dans son gameplay et son contenu, couplé à l'ajout de nouveaux personnages riches et travaillés, propulse le titre au niveau des jeux incontournables sur PlayStation 5 et comme l'un des piliers du genre shooter-platformer. Une formule qui fonctionne à merveille... Un film d'animation Pixar entre les mains Plus de 20 armes originales et très fun ! L'apparition et le développement de Rivet Une réalisation à couper le souffle Une technique qui réalise un sans faute Une direction artistique ultra soignée Bonne rejouabilité via le mode Défi La Dualsense bien mise en valeur ! ... mais qui ne se renouvelle que très peu Une durée de vie un peu légère 10-15h Le système de failles pas si présent que ça...
Bonjour Je suis SuzuKube, grand enthousiaste du jeu vidéo ! Et Rarement des jeux me prenne VRAIMENT aux tripes. Mais c’est quand même arrivé plusieurs fois au cours de ma (longue) vie de gamer. Parmi ces jeux, je pourrais citer le premier Sonic sur Master System, Diddy Kong Racing sur Nintendo 64, Mario Kart Double Dash sur Nintendo Gamecube, Mario Galaxy
Ah Ratchet et Clank, une série chère à mon cœur qui avec ses trois premiers opus m’avait offert de nombreuses heures de bonheur pendant la grande époque de la PS2. Depuis la PS3 est passée et nous à offert du très bon et du plutôt mauvais. Cette année, le jeu dont je vais vous parler aujourd’hui est le reboot de cette série, un premier épisode remanié qui a pour particularité d’être tiré du film d’animation sorti cette année. Alors ce jeu basé sur un film basé sur un jeu vaut-il vraiment le coup ? La naissance d’un héros Tout commence avec le Capitaine Qwark, emprisonné dans une cellule sur la planète Kerwann, racontant à son nouveau co-détenu, Shiv Helix, la célèbre histoire de Ratchet et Clank à sa manière. Ratchet, un mécanicien Lombax rêvant de devenir ranger galactique pour le capitaine Qwark va passer les épreuves de sélection, pour se voir refuser. Il va alors rencontrer Clank, un petit robot considéré comme une anomalie dans l’armée de robot créée par Drek Industrie. Nous allons alors découvrir comment Ratchet a su se hisser aux cotés des rangers galactiques pour protéger l’univers des plans du Dr Nefarious. Du pur Ratchet et Clank Quand on parle de Ratchet et Clank, la principale qualité qui ressort de ce jeux et la présence de nombreuses armes évolutives. Et des évolutions, il y en a dans ce nouvel opus. En plus d’avoir 5 niveau qui octroie des bonus et qui augmentent en fonction de l’utilistio, l’arme change de nom une fois au niveau maximum et évolue. De plus , vous pourrez leurs octroyer de nouveaux effets/compétences à travers des arbres de compétences bien remplis. Ratchet est donc prêt pour éradiquer les différentes menaces présentes dans la galaxie, accompagné de Clank, de ses armes et de sa légendaire clé. C’est donc avec une immense joie qu’on se replonge dans cet univers bénéficiant d’un gameplay dont on n’a plus l’habitude. Car Ratchet et Clank est un jeu de plateforme, il nous offre un système de combat très simple a prendre en main et vraiment plaisant, notamment grâce à l’énorme quantité d’armes originales disponible. Vous passerez aisément du simple Combustor à l’énigmatique Groovitron en passant par l’excellent Pixelliseur tout en étant accompagné de l’insupportable mais attachant Mr Zurkon. Ratchet et Clank ne serait pas aussi bon si il n’était pas dans un univers SF lui proposant de nombreux gadgets venus d’ailleurs, c’est avec plaisir que nous contrôlerons l’hoverboard à travers des courses, le jetpack, les magnétibottes et d’autres le jeu propose tellement de choses dans son aventure que les quêtes annexes sont un peu mises de coté, la plus intéressante étant la collecte de carte pour obtenir l’arme ultime du jeu, en résolvant des énigmes qui consistent à aligner des faisceaux dans le bon ordre. J’aimerai aussi souligner le fait que les phases de vaisseaux sont beaucoup trop simple pour être intéressantes. Mais rassurez vous, les phases ennuyantes comme le vaisseau ou les courses poursuites avec Clank ne sont qu’exception au sein de ce jeu. Puisqu’on parle de Clank, on ne peut pas parler de ce jeu sans évoquer les phases où on contrôle notre petit robot préféré. Dans ces phases, il sera question d’énigmes, des énigmes mettant en scène des petits robot transformables en tremplin, conducteur électrique et pont, il faudra alors avoir recours à notre logique afin de réussir ces véritables casse-tètes. Ratchet et Clank c’est… Ce Ratchet et Clank est… MAGNIFIQUE. C’est extrêmement beau et ça, grâce à des environnements bien travaillés, des personnages uniques et hauts en couleur, un bestiaire intéressant et surtout une gestion des couleurs parfaite. C’est tellement réussi que j’ai eu envie de prendre des screenshots tout au long du jeu pour les garder en souvenir. L’ambiance est vraiment bien retranscrite, grâce aux atouts cités précédemment mais aussi grâce la musique du jeu, les bruitages, la version française qui est vraiment bien, comme d’habitude chez Ratchet et Clank. Tout est fait dans ce jeu pour qu’on se sente à l’aise, la difficulté suit une progression logique, l’ambiance est géniale et change selon la planète sur laquelle on se trouve, le bestiaire se renouvelle assez souvent pour ne pas être lassant, l’humour est omniprésent et les personnages toujours aussi attachants. La durée de vie du titre est correcte malgré le manque de quêtes annexes. On pourra aussi trouver dommage que le new game + ne propose pas grand chose de plus. [one_half] Points positifs MAGNIFIQUE Nerveux et fluide Énormément d’armes et de personnalisation Les énigmes de Clank VF de qualité [/one_half][one_half_last] Points négatifs Manque un peu de quêtes annexes Quelques petites phases pas très intéressantes [/one_half_last]
Duréede vie : Ratchet & Clank : Rift Appart offre un rythme soutenu du début à la fin. Seuls les puzzles de Clank font un peu office de break. En mode normal, en faisant
Je suis un fan de la Xbox, tout le monde le sait. Mes amis savent aussi que j’ai eu une PS2, une PS3, puis une PS4 juste pour jouer aux exclusivités de ces machines et il y en a une que je ne raterai pour rien au monde Ratchet & Clank ! Heureux je suis, qu’un nouvel épisode soit sorti. Enfin, il n’est pas vraiment nouveau, puisque c’est un reboot, ou l’adaptation du film qui est l’adaptation d’un jeu vidéo… Un truc comme ça quoi ! Ratchet & Clank Bref, un nouveau jeu Ratchet & Clank est un événement que je ne pouvais pas rater, je me suis donc précipité dessus dès que ma main me l’a permis. Soit le lendemain de l’opération… Oui, je sais que ce n’est pas bien. Ouh le vilain ! Comme je le disais en introduction, il s’agit d’un reboot du premier épisode. On retrouve donc notre Lombax préféré, accompagné de son fidèle ami métallique, s’opposant aux terribles plans du Docteur Nefarious dans un jeu quasi identique au jeu d’origine. En effet, les fans de la première heure reconnaîtront sans peine les lieux déjà traversés, certains ennemis sont même placés au même endroit… Qui dit reboot, dit retour de certains personnages emblématiques de la licence tels que le Capitaine Qwark ou Skid McMarx, pour ne citer qu’eux. Les armes mythiques et délirantes sont bien évidemment aussi de la partie, mais la plus importante reste encore la clef anglaise de Ratchet. Côté gameplay, il n’y a encore une fois aucune surprise, et heureusement ! La jouabilité des précédents épisodes est tellement bonne qu’il aurait été dommage de la modifier… Mais alors, pourquoi avoir refait ce jeu si c’est pour ne pas le modifier ? Tout d’abord nous sommes en pleine mode des reboot/remastered/jefaisdufricfacilesansmefouler. Mais dans ce cas bien précis, la sortie du film est prétexte à la sortie d’un jeu. Plutôt que de perdre le nouveau public avec une histoire qui suit les nombreux jeux sortis sur PS2/PS3/PSP/PS Vita, il a très logiquement été décidé de refaire le premier épisode pour repartir sur de bonnes bases… Et quelles bases ! Là où ce reboot était indispensable, c’est bien pour revoir Ratchet & Clank en HD. Et j’avoue en avoir pris plein les yeux ! Graphiquement c’est à la hauteur de nos espérances. Le jeu est sublime, la profondeur de champ est impressionnante, même les poils du Lombax semblent vrais ! Pour tous ceux qui, comme moi, ont adoré le premier épisode, cette refonte graphique est une vraie aubaine, un régal pour les rétines. Je ne sais que dire de plus tant ce Ratchet & Clank m’a plu. Je me suis régalé à redécouvrir les personnages emblématiques dans cette histoire racontée par le Capitaine Qwark… Je suis arrivé à la fin en une dizaine d’heures pépère, en réalisant tous les objectifs de chaque planète et les fous furieux du Trophée Platine pourront rajouter quelques heures de jeux pour atteindre le Graal… Vous l’aurez donc compris, je vous conseille de vous jeter sur Ratchet & Clank sur PlayStation 4, surtout que son prix 36,99 € sur Amazon est imbattable pour autant de fun ! Et vous ? Avez-vous essayé Ratchet & Clank ? À quoi avez-vous joué cette semaine ? [amazon template=template daddygamerchief&asin=B00ZR9PTQO] Ratchet & Clank Jouabilité Graphismes Histoire Durée de vie Bande son En résumé Que vous soyez fan de la première heure ou que vous découvriez Ratchet & Clank pour la première fois, ce reboot est un grand moment de plaisir. Son petit prix en fait une valeur sure à ne pas laisser passer ! Daddy Gamer Chief Papa de trois petites demoiselles - 12, 6 et 2 ans - ainsi que d'un petit garçon de 4 ans, j'arrive tout de même à concilier mon travail, mon rôle de père et ma passion pour le jeu vidéo. De ce fait, j'ai créé ce blog afin de partager avec vous tous mes passions, mais aussi mes expériences vidéo-ludiques avec mes enfants. Ce blog n'a pas vocation à remplacer les grands sites mais bien de faire partager avec le plus grand nombre ce qu'est la vie de papa gamer avec quatre enfants.
Legameplay toujours aussi vif, précis et amusant. Armes, gadgets, équipements, améliorations, bref, un superbe lot pour s’amuser. L’excellente narration des dialogues en français. L’excellent rapport qualité/durée/prix. Négatifs. L’histoire met un peu de temps à bien s’installer et nous captiver.
Maturité évidente, humour décapantPrincipale licence d'Insomniac Games aux côtés de Resistance, Ratchet & Clank a presque toujours résulté d'épisodes de qualité, exception faite de quelques disparités apparues dans les épisodes PSP. Vantant un esprit haut en couleur et un gameplay plate-forme tout en y ajoutant une prise en main très orientée sur l'action, la série a su s'imposer comme une référence solide sur PS2 et depuis peu sur PS3. Qui plus est, la trame scénaristique est toujours bien tissée, malaxée par un humour de tous les instants. En effet, si les héros de l'aventure demeurent plutôt sérieux, c'est surtout les autres personnages de l'univers qui apporteront une touche de ridicule par un aspect caricatural et parodique fort amusant, via des petites directement les évènements d'Opération Destruction, Ratchet & Clank A Crack in Time mettra en avant la cassure de notre duo de choc. En effet, les compères ont été séparés à la fin de l'épisode précédent Clank a été enlevé par des créatures appelées Zonis, sans que l'on sache l'endroit dans lequel il a été transporté. Ainsi, l'opus de 2007 demeurait frustrant dans sa finalité et une bonne partie des réponses seront signalées dans ce nouvel épisode. Ratchet, connu comme l'un des derniers représentants de la race des Lombax dans l'univers, remonte dans son vaisseau spatial – l'Aphelion – afin de retrouver son ami disparu. Cela va sans dire que les pérégrinations de notre héros poilu ne seront pas de tout repos, étant donné que le principal ennemi de la série, le Dr. Nefarious, sera toujours présent pour tenter de dominer le monde. Et pour le coup, notre robot machiavélique, hystérique et un poil buggué des circuits, a fondé tous ses espoirs dans la Grande Horloge, une imposante machine permettant de voyager dans le temps et créer des paradoxes dans l'optique de modifier l'histoire. Si la trame poursuit directement l'opus antérieur, un flashback introductif permettra aux non initiés de prendre aisément le train en marche. Dès les premiers instants de jeu, vous apprendrez que Clank évoluera dans cette horloge car il est désigné comme le gardien de ces lieux, afin de préserver l'intégrité temporelle. Notre petit ami devra s'affairer à restaurer les dégâts d'ores et déjà opérés par le Dr. Nefarious, au travers d'objets et compétences qui lui seront transmis directement via son subconscient. Au fil du jeu, Clank en apprendra davantage sur ses origines et son destin, mais aussi sur son géniteur, répondant ainsi à de nombreux mystères qui étaient jusqu'alors non élucidés. Cela signifiera également une aventure plus personnelle, plus intérieure, plus sérieuse également. De son côté, Ratchet aura un champ d'action bien plus vaste puisqu'il devra circuler dans les moindres recoins de la galaxie afin de trouver son équipier disparu. Sur son chemin, il découvrira lui aussi de nouveaux éléments sur le passé de son peuple en la personne d'Azimut, un autre Lombax qui jouera un rôle important dans les motivations de Ratchet, ainsi que dans ses choix l'aurez compris, le scénario de Ratchet & Clank A Crack in Time souligne une maturité bien prononcée, pour le coup synonyme d'une richesse et d'un aboutissement rarement atteints dans la série. Insomniac Games a effectué un travail de qualité sur le background du jeu, mettant enfin nos héros à nu. Néanmoins, l'ingrédient principal, l'humour, n'a pas été oublié. En effet, la progression enchaîne naturellement les scènes sérieuses et les situations cocasses, sans que la crédibilité générale soit réduite. Cette parfaite jonglerie résulte sur une mise en haleine à la fois légère et prenante. Qui plus est, l'humour a souvent la forme de caricatures que l'équipe de développement souligne dans un secteur bonus du jeu, notamment les inspirations des ennemis et autres PNJ. On retrouvera le Capitaine Qwark, pseudo-héros en collant, chochotte et incompétent à souhait. Et pourtant, ce gros gaillard s'avère attachant par ses propos décalés, allant crescendo au fil du jeu pour atteindre le paroxysme du ridicule dans la dernière partie de l'aventure. Le Dr. Nefarious et son caractère d'enfant gâté prête également à rire, au même titre que certaines races alliées par leur allure et à leur façon de parler certains ont des tocs, d'autres parlent comme des geek, etc. Roi de la mécaniqueContrairement au précédent opus, A Crack in Time comportera deux gameplay fortement différents. D'un côté, le joueur contrôlera Ratchet pour une prise en main nettement orientée sur l'action pure. L'autre versant met en avant Clank dans des phases de jeu clairement axées sur les casse-têtes et la plate-forme. Au sein de la Grande Horloge, il devra régulièrement sauter d'un rouage à l'autre, en utilisant le rotor de sa tête. Il pourra ainsi s'élancer jusqu'à trois reprises afin d'atteindre des plates-formes surélevées. Certains passages nécessiteront également l'utilisation de petites bombes d'énergie qui permettront de ralentir le temps sur une zone sphérique. Pour la première fois, Clank disposera d'une arme pour combattre le Chronoseptre. Ce bâton, reçu lors d'une scène dans son subconscient, lui permettra de combattre certains ennemis au contact, mais aussi de renvoyer les projectiles de monstres aériens. Mais la principale fonction du Chronoseptre est de réparer les dégâts de l'horloge, en remontant le temps sur les éléments détruits. L'évolution de Clank dans ce nouvel univers mettra souvent en avant des phases d'énigmes qui brisent certes la dynamique de jeu, mais soulèvent une nouvelle originalité de gameplay liée à la ligne directrice de l'épisode la gestion du temps. Certaines pièces mettent en avant jusqu'à quatre boutons d'enregistrement depuis lesquels Clank peut se dédoubler afin d'accéder à des interrupteurs destinés à ouvrir la porte suivante. Il faudra ainsi jouer avec le temps et l'ordre des passages afin d'enchaîner plusieurs enregistrements temporels, dans l'optique d'activer les interrupteurs. Et pour cela, il faudra souvent passer par un véritable parcours du combattant, via des boutons permettant de libérer des accès vitrés ou surélevés. Le système est globalement bien huilé et véritablement plus facile à comprendre une fois le pad en main. De son côté, Ratchet sera amené à parcourir pas moins de quatre secteurs temporels plus un bonus en fin de partie accessibles à l'aide de son vaisseau spatial. Chaque zone comporte une à deux importantes planètes au sein desquelles se dérouleront les évènements majeurs de l'aventure. De plus, de nombreuses petites planètes supplémentaires pourront être parcourues, dans le but de récolter des boulons la monnaie du jeu, voire des bonus plus rares tels que les Boulons d'Or, des plans holographiques ou encore des Zonis. Comparable à l'opus précédent, Ratchet obéit au doigt et à l'oeil, rendant l'aventure très confortable à parcourir. Concrètement, une touche sert à donner des coups de clé au corps-à -corps, une gâchette sert à tirer à l'aide d'une arme préalablement équipée, tandis que l'autre permet de viser plus pertinemment en plaçant la caméra à l'épaule. Seulement, lors des affrontements plus poussés, la configuration optimale nécessite le maintient de la touche de déplacement latéral tout en tirant. Ainsi, il est possible de combiner ces deux touches avec celle de saut pour esquiver efficacement des attaques ennemies. Si cette configuration peut paraître déroutante au premier abord, elle se révèle très efficace par la suite. L'un des principaux attraits du jeu avec Ratchet se matérialise dans le choix des armes. Vous récolterez de nombreux équipements via les stations d'achat GruminNet qui les met en avant via d'amusants spots publicitaires, allant du pistolet ou fusil à pompe à des outils plus exotiques. On appréciera notamment l'érupteur sonique et ses rots surpuissants, un lanceur de boules à facettes, ou encore M. Zurkon, un robot qui ne vit que pour casser du monstre. Ce tas de ferraille passe d'ailleurs son temps à sortir des phrases franchement poilantes. Un régal. À côté de cela, un arsenal assez fourni est votre disposition mines, pointes énergétiques, pistolet-sniper, lance-disques, lance-roquettes, arme givrante, filets électriques, etc. Sachant que chaque arme améliore ses caractéristiques au travers de cinq niveaux le dernier change considérablement l'efficacité suivant sa fréquence d'utilisation, il est clair que les affrontements se veulent très variés. Qui plus est, des outils bonus permettront de modifier leur tirs. Accessibles depuis le menu d'inventaire, les armes pourront être changées via la touche de raccourci triangle. Dans ce volet, Ratchet pourra également se déplacer plus rapidement via des hoverbottes. Ces dernières seront souvent requises vu que la configuration des niveaux gravite autour de ce nouveau jouet, via des plans inclinés équipés d'accélérateurs et autre rails. Il suffira de maintenir la gâchette R2 pour pousser les réacteurs à fond. Cet équipement permet également de planer sur de courtes distances, afin d'accéder à des plates-formes éloignées par exemple. Cet ajout est appréciable, mais offre aussi quelques petites incohérences de collision, notamment lors de l'accès des plates-formes en mouvement. Gallerie d'images Liberté, gloire et beautéA contrario d'Opération Destruction, Ratchet & Clank A Crack in Time oriente une belle part du gameplay sur les déplacements et combats en vaisseau spatial. D'ailleurs, la prise en main a été améliorée. Le vaisseau réagit plus naturellement et comporte des fonctionnalités pertinentes accélération, esquive, protection. Les attaques sont également plus confortables à mener et plus diversifiées. Le tir principal et les roquettes secondaires s'amélioreront au fil de la récolte des Zonis, offrant à terme un équipement hautement destructeur. Cette importance sur la navigation spatiale met en avant un élément important la liberté d'action. Il est en effet possible de passer d'un secteur spatial à l'autre de façon très permissive, permettant ainsi de parcourir à sa guise les nombreuses planètes optionnelles. La prise en main sur certaines d'entre-elles les plus réduites notamment laisseront transparaître un petit côté Super Mario Galaxy fort agréable. Enfin, cette non linéarité présente de nombreuses quêtes optionnelles qui améliorent la durée de vie et la rejouabilité générale trouver tous les bonus notamment qui oscille entre dix et quinze heures. De plus, le jeu offre la possibilité de s'adonner au mode Défi une fois la partie clôturée, ou de revenir dans le passé afin de visiter une nouvelle zone et un boss sacrément coriace en comparaison avec le reste du jeu. En effet, la trame principale demeure très aisée en mode normal et encore assez peu corsée en difficile. Cela s'explique par la présence de nombreux checkpoints, permettant de ne pas avoir à refaire tout le niveau suite à un échec. Ce côté très accessible permettra aux non initiés de ne pas sombrer dans la frustration. Techniquement parlant, ceux qui ont pratiqué Opération Destruction ne constateront pas de différences majeures dans ce nouvel opus. Cependant, un travail supplémentaire a été apporté sur les ombres portées et les effets de brillance, affichant un avantage indéniable pour un moteur graphique fort réussi et surtout très bien optimisé. En effet, le jeu ne subit aucun ralentissement et ce, même lors des phases très riches en ennemis et effets pyrotechniques. De plus, les temps de chargements ne sont pas nombreux et toujours très courts. Petit détail, l'équipe de développement a même dissimulé l'installation du jeu derrière une cut-scene introductive. Efficace ! On sent qu'Insomniac Games maîtrise particulièrement bien la PlayStation 3, à l'instar de Naughty Dog. Concernant l'aspect purement sonore, le titre dispose d'un éventail de bruitages de qualité, agrémenté par un doublage français réussi. On regrettera cependant le remplacement des voix de Ratchet et de Clank – initialement assez amusantes – par des doubleurs plus sérieux. Néanmoins, le ton décalé des autres protagonistes assure une grande partie de l'humour. Petit coup de coeur concernant les quatre radios disponibles dans le vaisseau, ainsi que les publicités et émissions complètement de le nier, Ratchet & Clank A Crack in Time est un excellent jeu, utilisant le patrimoine de la série déjà fort bien huilé, tout en incorporant quelques nouvelles fonctionnalités de gameplay, ainsi qu'une liberté de mouvement accrue. Ajoutez à cela une trame scénaristique de qualité et hautement riche en révélations sur la série, ainsi qu'un humour toujours très décapant et parfois très subtile. Bref, bien peu d'éléments négatifs sont à souligner, si ce n'est les quelques incohérences de collision sur certains décors, ou encore le temps d'adaptation des contrôles. L'aventure s'avère particulièrement longue et prenante, agrémentée par de nombreux bonus et une rejouabilité clairement intéressante. Pour peu que vous cherchiez un jeu de plate-forme orienté action, agréable à jouer sans pour autant vous prendre la tête sur une difficulté trop accrue, les nouvelles aventures de Ratchet & Clank devraient réellement vous satisfaire.
Unempereur robot maléfique fait son possible pour éradiquer toute forme de vie organique et a jeté son dévolu sur la dimension de Ratchet et Clank. Vous allez devoir vous aider des armes les plus insolites de notre super duo pour empêcher la dimension de s'effondrer. Frayez-vous un chemin vers votre dimension grâce à un arsenal explosif de nouvelles armes comme le Canon
Que serait une nouvelle génération de console PlayStation sans son Ratchet & Clank ? Rare survivant de la génération 128 bits, la célèbre saga du lombax et son ami robot n’a manqué aucune console et fait donc son grand retour en exclusivité PS5. Annoncé depuis quelques temps, il n’a eu de cesse d’impressionner via ses trailers exceptionnels qui promettaient une expérience visuelle hors du commun. Cette fois ça y est, il est enfin sorti et il compte faire mal car oui, autant le dire tout de suite Ratchet et Clank Rift Apart est très certainement l’une des meilleurs expériences vidéoludiques de ces dernières année et LE jeu de 2021. Rivet & Clank Alors que tout baigne pour Ratchet et Clank qui commencent à s’ennuyer depuis leurs dernières aventures en 2016, l’affreux Docteur Nefarious fait son grand retour et s’empare d’une arme conçue par Clank le dimensionnateur et ne sachant pas l’utiliser, dérègle totalement l’univers. Oui, ça fait drôle dis comme ça mais le scénario de base est à la hauteur de ce que l’on attends pour un jeu comme ça sans prise de tête et terriblement drôle. Cela dit, le scénario ajoute une nouvelle règle et pas des moindres l’arrivée d’une autre Lombax du nom de Rivet. Double dimensionnelle de Ratchet, celle-ci va se retrouver au coeur de l’histoire quand Clank, séparé de Ratchet suite aux gaffes du Docteur Nefarious, va croiser sa route et tenter de l’aider. Car oui, qui dit double dimension dit double terres et doubles méchants. Ainsi, la jeune Rivet vit dans un monde avec les mêmes ennemis et surtout le même antagoniste principal qui se voit beaucoup plus fort et malin que celui de l’univers de Ratchet. L’ajout de cette dimension multivers colle parfaitement au jeu et permet d’avoir un scénario qui se détache totalement des prédécesseurs et qui contre toute attente, propose de véritables enjeux et permet à la série de ne pas tourner en rond. Fini le traditionnel affrontement avec Nefarious et place à une double histoire liée par le temps et l’univers celle de Ratchet… Et Rivet. Celle-ci au passage est très certainement l’un des ajouts les plus intéressants à l’univers du jeu. Si certains ont râlé, prétextant que sa présence n’était qu’un prétexte pour ajouter une figure féminine il n’en est rien. Rivet est d’un charisme absolument démentiel et parviens à voler la vedette à Ratchet pendant une bonne partie du jeu. Son histoire est touchante, son personnage bien développé et son design en fait l’un des personnages de jeux vidéo les plus attachants qu’on ait pu rencontrer et surtout incarner. Elle n’est au final pas qu’un simple ajout mais bel et bien une nouvelle figure importante de la saga et maintenant qu’elle existe ne nous la retirez surtout pas ! JOUISSIF, tout simplement ! Vous l’avez compris, Ratchet and Clank Rift Apart n’est donc pas que l’histoire de nos deux acolytes habituels mais également celle de la nouvelle figure féminine. Ainsi, le jeu nous propose d’incarner à la fois Ratchet et Rivet. Cela dit, sachez-le directement le gameplay ne diffère absolument pas d’un personnage à l’autre. En utilisant un biais scénaristique et la notion de dimension parallèle, le jeu justifie ainsi que les deux Lombax possèdent le même gameplay, le même arbre de compétence et les mêmes portefeuilles d’armes/munitions. Mais rassurez-vous tout de suite cela n’empêche pas le titre d’avoir l’un des gameplay les plus jouissifs et variés qu’on ait pu avoir dans un jeu vidéo. C’est simple, chaque seconde passée dans Ratchet & Clank Rift Apart est différente. Sur le papier, le jeu reprends les bases de ses prédécesseurs à savoir un mix entre de l’action et de la plateforme avec des phases de shoot. De ce point de vue là , on retrouve l’essentiel de la saveur avec une maniabilité agréable, des sauts précis et une variété dans les phases de shoot grâce aux différentes armes toujours aussi loufoques et différentes. Profitant de différentes planètes ouvertes, il est ainsi possible d’explorer entre 2/3 missions pour découvrir des secrets ou juste profiter. Mais là où le titre frappe très fort c’est dans la variété de situations. Le nombre de phases de jeux est incroyable et l’équilibrage entre celles-ci est magistralement orchestrée. Phases de shoot, phases de glisse sur rail, courses à dos d’insecte ou sur dragon volant tout y est. On ne s’ennuie jamais et à aucun moment le jeu ne lasse de par la variété des phases de jeu. Dès qu’une situation commence à devenir trop longue, le titre switch automatiquement sur quelque chose de plus calme ou plus intense en fonction des moments et au final, on a jamais l’impression de jouer au même jeu. Ratchet & Clank Rift Apart est un jeu aux multiples jeux et un vrai cadeau pour tout passionné de gaming. Il est très difficile de trouver quelconque défauts de ce point de vue là tant l’expérience est dynamique et jouissive. L’autre subtilité de gameplay est bien évidemment l’ajout de ce que le jeu appelle les failles. En effet, le monde étant en proie à un déchirement dimensionnel, il vous sera ainsi possible de profiter de ces fameuses failles pour vous téléporter littéralement instantanément à divers endroits. Ce faisant, les phases de shoot deviennent endiablées comme jamais avec la possibilité de se téléporter dans le dos d’un adversaire, au-dessus de lui ou encore sur le côté. Ces failles servent également à des phases encore plus adaptées comme les séquences de glisse sur rail qui vous feront passer par 5 ou 6 mondes différents en mettant vos réflexes et vos nerfs à vifs. Si certains jeux comme Uncharted se voyaient reprocher le gameplay peu présent au profit de la mise en scène, Insomniac Games arrive à lier parfaitement les deux. La mise en scène vous la jouez, c’est aussi simple que ça. Adieu les chargements lors de phases Disneyland et bonjour l’interaction à gogo et la nervosité totale. Manette en main, Ratchet & Clank Rift Apart est une merveille et les nombreux ajouts liés à la dualsense rendent l’expérience encore plus intense. Ca secoue, ça fait de l’écho, ça vibre, ça résiste etc. En plus d’être une expérience vidéoludique de malade, c’est également un vrai bonheur sensoriel, autant pour vos mains que pour vos yeux. Welcome to the new age Là où le jeu était attendu c’est bien évidemment sur sa réalisation graphique. Alors que nous sommes encore au début de la génération, jusqu’à maintenant aucun jeu n’a vraiment proposé de claque dans la figure qui nous fait comprendre que nous sommes sur PS5. Si Demon’s Souls arrivait à être magnifique, Ratchet quant à lui est à peine croyable. Pour faire simple et sans trop se mouiller, on est en face du plus beau jeu vidéo jamais créé. Ratchet & Clank Rift Apart est un véritable film d’animation mais avec le gameplay en plus. Celui-ci arrive même à être plus beau que son film d’animation sorti en 2016. Premièrement les environnements. Encore une fois, Insomniac Games nous fait cadeau de son habituelle créativité artistique avec des univers aussi variés et inspirés les uns que les autres. Des villes futuristes aux marécages en passant par les déserts tout est somptueux. Les textures sont d’une netteté à nul autre pareil, les effets pyrotechniques fabuleux mais c’est surtout l’animation globale qui est époustouflante. Chaque personnage dispose d’une véritable identité, qu’il soit principal ou secondaire. Ceux-ci fourmillent de détails et chaque plan, chaque arrêt sur image est un régal sur les yeux. De la qualité des poils de Ratchet aux mouvements des yeux de Rivet en passant par les effets de lumière tout est à peine croyable. Oui, cette fois-ci on peut le dire on a parfois du mal à savoir s’il s’agit d’un jeu vidéo ou d’un film d’animation. Les cinématiques étant basées sur le moteur du jeu, les transitions se font parfois de manière si fluides qu’on peine à croire qu’on est en train de jouer. Ce qui s’explique par des temps de chargements littéralement inexistants qui permettent un enchaînement des plus intenses. D’autant plus que le titre est généreux en moment épiques, ce qui garantis une expérience visuelle exceptionnelle de bout en bout. Ratchet & Clank Rift Apart est un peu comme cette attraction fabuleuse que vous découvrez sauf que celle-ci dure une dizaine d’heures et vous régale les yeux à chaque seconde. En plus d’être artistiquement et techniquement irréprochable, le jeu se permet même le luxe d’être d’une fluidité et d’une rapidité époustouflante. Qu’on soit en mode performance ou fidélité, le titre n’a jamais la moindre perte de FPS. Le titre peut parfois enchaîner 5 à 6 mondes différents en moins d’une minute tout en restant net et fluide. Parfois, il en devient même difficile de suivre pour l’oeil humain tant les effets, les événements, les détails et les explosions s’enchaînent à l’écran sans laisser le joueur au repos. Tout comme le gameplay, il est très difficile de reprocher quoi que ce soit techniquement à Ratchet & Clank Rift Apart. La réalisation atteint des sommets vertigineux qu’il sera difficile de surpasser, voire même d’atteindre et oui on peut vraiment parler de claque technique. Une formule magique Alors oui, dans l’ensemble, Ratchet & Clank Rift Apart ne réinvente pas sa formule. On retrouve ce qui fait la saveur de la licence mais en version améliorée par mille et boosté grâce à la puissance de la PS5. Les amateurs de la saga retrouveront tout ce qu’ils aiment comme les armes loufoques, le scénario drôle et l’univers si particulier mais tout en découvrant une réécriture de certains personnages grâce au multivers et enfin la présence de nouveaux héros. Pas dépaysant, il n’en reste pas moins un jeu qui ouvre la porte à l’exploration, à la découverte et qui en mets constamment plein la vue sans jamais lasser le joueur. Quant à ceux qui n’ont jamais touché à la série, ce sera une découverte de tous les instants et même si certains easter eggs et références peuvent être ratées, dans l’ensemble Ratchet & Clank est un jeu que n’importe qui peut et surtout DOIT faire s’il possède la PS5. Rarement un jeu vidéo n’aura autant gâté les joueurs et même si la durée de vie en ligne droite est assez courte une douzaine d’heures, les décors sont si grands, les collectibles si nombreux et les détails fourmillent tellement qu’il faudra bien plus qu’une seule partie pour tout découvrir sur ce jeu exceptionnel. Un jeu vidéo comme on en redemande… Vous l’avez compris, Ratchet & Clank Rift Apart aurait pu être un excellent jeu mais il est bien plus que ça. Depuis quelques années, rares sont les jeux à avoir proposé quelque chose d’aussi simple de manière si parfaite le fun. Le tire rempli à la perfection le cahier des charges de ce qu’on attends d’une oeuvre vidéoludique qu’elle soit jouissive, ingénieuse et surtout amusante. Avec ses phases de gameplay variées, sa mise en scène à tomber par terre, sa réalisation qui surpasse de très loin tout ce qui a été fait jusqu’à maintenant ou encore ses personnages attachants mention spéciale pour Rivet Ratchet & Clank Rift Apart est tout simplement l’un des meilleurs jeux vidéo de ces dernières années, voire même de tous les temps. La question de l’acheter ou non ne se pose même pas c’est un cadeau fait par Insomniac Games à l’ensemble des joueurs PS5. Une vraie bouffée d’air fraîche, une claque technique et une expérience hors du commun, tout simplement.
Ratchetet Clank Rift Apart révèle la puissance de feu de la PS5 . Le nouveau Ratchet et Clank : Rift Apart fait une sortie triomphale sur PlayStation 5 et révèle les capacités
Annoncé durant la première conférence dédiée à la PS5, Ratchet & Clank Rift Apart faisait alors figure de vitrine technologique pour la dernière machine en date de Sony. Insomniac Games promettait d'utiliser toutes les capacités de la console, qu'il s'agisse du SSD, de l'audio 3D ou encore des fonctionnalités de la DualSense. Mais à vouloir tout faire, le jeu parvient-il à concocter un mélange aussi harmonieux que réussi ? La réponse dans ce incontournable dès son premier opus sur PS2, la saga Ratchet & Clank n'a pourtant pas été beaucoup investie par Sony sur la génération de console précédente. En effet, la PlayStation 4 n'a accueilli qu'un seul épisode sous la forme d'un remake de l'épisode initial sorti en 2002. Ainsi, et malgré les nombreuses qualités du dernier jeu en date, la licence semblait être reléguée au second plan, alors qu'Insomniac Games rencontrait un succès planétaire avec Marvel's Spider-Man en 2018. Or, environ deux ans plus tard, le célèbre duo faisait son grand retour avec l'annonce de Ratchet & Clank Rift Apart, un titre pensé exclusivement pour la des fans à l'idée de replonger dans cet univers coloré et plein d'humour était palpable... Et à juste raison ! Au cours d'une année quasiment complète de communication plus ou moins intense autour de sa production, Insomniac a appuyé sur des aspects forcément alléchants comme le voyage interdimensionnel, sans le moindre temps de chargement. Il est donc temps de débuter notre & Clank Rift ApartDes personnages très réussis et un scénario convaincant Alternance entre humour et scènes plus "sérieuses" parfaitement dosée Graphiquement et techniquement superbe Les fonctionnalités de la PS5 toutes bien utilisées Les dimensions impactent peu le gameplay Un tantinet trop classique Pas de différences entre Ratchet et Rivet manette en mainDisney n'a qu'à bien se tenirCe Ratchet & Clank Rift Apart est considéré comme une aventure standalone, ce qui indique qu'il n'est pas nécessaire de jouer au reste de la série pour comprendre l'histoire narrée au fil des 13 premiers opus. Le fameux Lombax et son ami robotique coulent des jours heureux depuis leurs précédents exploits. Hélas, comme nous pouvions le redouter, le docteur Nefarious ne l'entend pas de cette oreille et dérobe un objet, nommé le Dimensionnateur, à nos héros. La catastrophe qui devait arriver arrive et des portails dimensionnels s'ouvrent pour aspirer nos héros dans une autre dimension. Il faut alors se réapproprier l'arme à l'origine de ce désastre pour réparer les univers et ramener notre duo dans son monde d' Clank et le pénible Dr Nefarious repartent pour une nouvelle aventure rocambolesqueSur le papier, le scénario paraît intéressant et dans les faits il parvient sans mal à garder les joueurs en haleine jusqu'à sa conclusion. Le format de la campagne solo ne tranche pas radicalement avec celui des anciens épisodes puisque Ratchet et Clank vont de planète en planète avec leur vaisseau pour accomplir leur mission. La vraie nouveauté, qui vient passablement chambouler le déroulé des événements, se trouve du côté de Rivet, une autre Lombax habitant dans cette nouvelle dimension. Certaines quêtes nous permettent ainsi de l'incarner, bien que sa prise en main demeure en tout point semblable à celle de Ratchet mais nous y reviendrons plus tard.Quoi qu'il en soit, force est de constater que la réussite est de mise en matière de storytelling. Le jeu alterne entre humour, action et moments plus contemplatifs durant lesquels les personnages se questionnent sur leurs origines ou leur façon d'être. Les émotions s’enchaînent à l'écran à la manière d'un excellent Pixar. Il n'est donc pas rare d'esquisser un sourire et de se prendre d'attachement pour les protagonistes... Et Rivet sort vraiment du lot dans ce domaine tant elle s'imbrique parfaitement avec les deux héros iconiques de la saga. D'autant qu'une vraie surprise, dont nous tairons la nature, vient parachever le tout, sur ce casting des plus convaincants !Rivet, l'une des grandes réussites de cet épisodeUne PS5 déjà bien exploitéeÀ la sortie d'une nouvelle console, les joueurs espèrent prendre une claque monumentale sur la partie visuelle des jeux à gros budget. Insomniac Games est assez coutumier du fait, après un Ratchet & Clank 2016 et deux Spider-Man extrêmement plaisants à regarder. Mais puisque Rift Apart se permet d'arriver uniquement sur PlayStation 5, nous étions en droit d'attendre des graphismes à la hauteur des performances de la machine. Bonne nouvelle la réussite est totale à ce niveau. Les personnages sont modélisés à la perfection, les effets de lumière ou même de particules sont impressionnants et les décors fourmillent de détails. Quant aux cinématiques, elles vont encore plus loin pour se hisser à la hauteur des films d'animation des plus grandes séquences décollent la rétine !Dès le début de la partie, nous avons le choix entre trois modes de rendu distincts. Le premier favorise les graphismes avec une modélisation générale plus fine, une définition en 4K à 30fps et le ray tracing activé. Aucun ralentissement intempestif à signaler de notre côté durant les séquences riches en explosions et autres fusillades. Par ailleurs, un mode accentuant les performances à 60 fps et un mode ray tracing avec les 60 fps nommé Performances RT sont bien au programme. Nous détaillons les spécificités de ces modes en profondeur dans le bloc ci-dessous. Autre atout indéniable du titre d'Insomniac, les temps de chargement ont bien été supprimés et charger une partie prend à peine une petite seconde. Le SSD fait clairement des merveilles ici !JVFRL'effet visuel des poches dimensionnelles est extrêmement bien rendu Un point sur la techniqueCe nouvel épisode de Ratchet & Clank proposera dès le lancement trois modes graphiques différents. Nous avons pu les tester et tout le monde devrait y trouver son bonheur Fidélité par défaut un mode qui cible un rendu en 4K à 30 images par seconde avec toutes les raffinements techniques poussés au maximum ray tracing, effets volumétriques, nombres d'objets affichés à l'écran, distance d'affichage. Un excellent traitement du motion blur fluidifie l'affichage et fait mieux passer la pilule des 30 images par seconde, quand on s'est habitué au 60 images par seconde de la plupart des titres RT ce mode cible un rendu en 4K dynamique à 60 images par seconde avec le ray tracing activé. Quelques compromis sont faits pour tenir cette fréquence d'images élevée, principalement les effets volumétriques qui sont fortement réduits, le nombre d'objets affichés et bien sûr, la résolution plus faible. Le jeu semble tourner en 1440p au minimum, mais l'excellent AA temporel permet d'obtenir un rendu vraiment propre même sur une TV 4K de 55". C'est pour nous le mode à privilégier pour profiter au maximum du titre, avec peu de compromis un dernier mode qui désactive complétement le ray tracing pour booster la résolution tout en maintenant 60 images par seconde. Franchement à moins d'avoir une TV ou un projecteur de 80", cela n'apportera pas grand chose par rapport au mode Performances RT », tout en vous faisant perdre la plupart des effets graphiques qui font de ce jeu une véritable expérience mode fidélité 30 fps RT ON / Droite mode performances RT 60 fps RT ONL'autre star insoupçonnée ou presque du soft d'Insomniac est la DualSense. La manette de la PlayStation 5 est superbement mise à contribution avec ses gâchettes adaptatives qui permettent de ressentir la résistance des armes. Le retour haptique n'a pas été oublié. Il émet des vibrations bluffantes pour reproduire des sensations en adéquation avec ce qu'il se passe à l'écran Ratchet qui ramasse des boulons, tape les touches d'un clavier.... Le jeu gagne aussi en immersion grâce à l'audio 3D et au haut-parleur de la manette qui diffuse régulièrement des bruitages. En dehors de quelques bugs mineurs et de crashs qui devraient être corrigés pour le lancement, Ratchet & Clank Rift Apart réalise un carton plein technique et utilise les fonctionnalités de la PS5 avec brio !JVFRLes scarapides permettent de se déplacer rapidement dans les zones plus ouvertesDu Ratchet & Clank pur et pas si durVisuellement, l'exclusivité de Sony réalise donc un quasi sans-faute. Mais dans l'ensemble, et si ce n'est à quelques exceptions près, la progression et le gameplay de Ratchet & Clank Rift Apart ne marquent pas une vraie rupture avec les jeux précédents. Nous retrouvons par exemple la plupart des armes habituelles de la licence qui sont accessibles via une boutique en dépensant des boulons glanés au fil de nos pérégrinations. Globalement, l'arsenal demeure classique et moins déjanté qu'à l'accoutumée. Il est toujours possible de l'améliorer en dépensant du raritanium afin de déverrouiller des capacités inédites à force d'utiliser l'arme en mini-boss pointe à l'horizon...Ce Ratchet & Clank à la sauce PS5 conserve, au passage, sa très légère dimension RPG. À force d'anéantir des ennemis, nos héros gagnent de l'expérience et montent en niveau. Ce gain se manifeste par la simple augmentation de la barre de vie maximale. Les similitudes continuent jusque dans certaines phases de gameplay qui demandent de dévaler des rails à toute vitesse ou d'attaquer par les airs à bord d'un moyen de locomotion. Aussi, chaque planète dispose d'une quête secondaire et de collectibles boulons en or, robots espions... à récolter. Le jeu tente tout de même d’insuffler un peu de variété au fil des heures avec notamment des petites énigmes relativement faciles. Rien de bien novateur donc...JVFRQueques passages apportent de la variété dans le gameplayS'il n'y a rien à reprocher au gameplay, puisque les personnages répondent sans sourciller aux sollicitations du joueur, nous pouvons regretter l'absence de réelles variantes dans la manière de contrôler Ratchet et Rivet. Nos Lombax partagent des mouvements, des animations et même un arsenal totalement identiques. De plus, les joueurs vétérans comme débutants n'auront aucun mal à venir à bout du jeu en mode normal. Heureusement, il existe quatre modes différents pour adapter la difficulté et apporter un semblant de challenge à l'aventure. Quant aux gunfights, ils sont toujours aussi dynamiques et requièrent d'exploiter intelligemment les armes de Ratchet en fonction des ennemis croisés. JVFRSi l'arsenal n'a pas beaucoup changé depuis Ratchet & Clank 2016, certaines armes font bien le ménageUn jeu en plusieurs dimensionsComme nous avons pu le mentionner précédemment, un bonne partie de la campagne marketing du jeu s'orientait autour des voyages dimensionnels et leurs impacts sur nos héros. Si cet aspect du titre peut donner naissance à des instants remarquables, il y a tout de même de quoi être un peu déçu par le manque de répercutions sur le gameplay. Pendant un combat ou en pleine exploration, notre avatar peut par exemple se téléporter » vers des sortes de portails dimensionnels visibles au loin. Loin d'être nombreux, ces points d'attache remplissent au final la fonction d'un déplacement rapide sur une très courte distance plutôt qu'une réelle téléportation. Il en va de même pour les poches dimensionnelles qui, en plus d'être facultatives, débouchent simplement sur des parcours très réduits. Nous sommes assez loin d'un vrai game changer » qui aurait pourtant pu apporter un regain de verticalité à la petites épreuves des poches dimensionnelles permettent d'obtenir des pièces d'armure Mais durant les 15 heures nécessaires pour le terminer à 100 %, Ratchet & Clank Rift Apart n'est jamais lassant. La progression est d'une limpidité exemplaire et on replonge avec plaisir dans une nouvelle partie via le mode défi c'est-à -dire un new game +. Celui-ci permet de récupérer des armes supplémentaires tout en débloquant des améliorations inédites. Nous avons aussi passé un certain temps sur le mode photo qui ne manque pas d'options de personnalisation comme des filtres, des calques, des expressions faciales et bien plus finir, il faut impérativement souligner que le titre est porté par une mise en scène qui se fait bien souvent marquante et des doublages français absolument irréprochables. Le level design fait également partie des points forts du jeu et quelques niveaux se permettent même d'offrir de vastes zones dans lesquelles il fait bon se promener. En résumé, la magie Ratchet & Clank opère toujours avec Rift va tout casser !Ratchet & Clank Rift Apart l'avis de ClubicS'il ne réinvente pas une formule qui a déjà fait ses preuves, Ratchet & Clank Rift Apart conserve le charme inhérent à une licence qui reste au sommet de sa forme après presque deux décennies d'existence. Le jeu fait preuve d'un équilibre parfait entre les phases de plateforme, les combats prenants et l'exploration des planètes somptueuses de cet opus. En effet, les équipes d'Insomniac sont parvenues à dompter les capacités de la PS5 grâce à leur savoir-faire ancestral remontant à l'époque de la première PlayStation. Tout est réalisé avec une justesse olympienne... Et il faut dire que nous n'en attendions pas moins de leur part. S'il est vrai que cet épisode prend peu de risques et que les dimensions n'influencent au final que faiblement le gameplay, Ratchet & Clank Rift Apart demeure une réussite sur toute la ligne dans les autres domaines. La totalité de l'aventure est portée à bras le corps par des personnages attachants, un humour savamment dosé et une histoire menée tambour battant. Ratchet & Clank Rift Apart ravive notre flamme nostalgique tout en y ajoutant une dose généreuse de modernité sur le plan technique. Un vrai bonheur !Test effectué sur PS5 en mode "qualité" 4K-30fps à partir d'un code fourni par Sony Interactive EntertainmentRatchet & Clank Rift ApartInsomniac Games livre un nouveau Ratchet & Clank qui se repose sur les bases de ses prédécesseurs et qui exploite à merveille les capacités de la PS5. En presque 20 ans d'existence, la saga n'a pas pris une ride et Rift Apart en est la preuve ! Les plusDes personnages très réussis et un scénario convaincant Alternance entre humour et scènes plus "sérieuses" parfaitement dosée Graphiquement et techniquement superbe Les fonctionnalités de la PS5 toutes bien utilisées Durée de vie plus que correcte Bande originale et doublages français impeccablesLes moinsLes dimensions impactent peu le gameplay Un tantinet trop classique Pas de différences entre Ratchet et Rivet manette en main
kOmMGR. u9umtbi2c9.pages.dev/269u9umtbi2c9.pages.dev/82u9umtbi2c9.pages.dev/214u9umtbi2c9.pages.dev/89u9umtbi2c9.pages.dev/391u9umtbi2c9.pages.dev/98u9umtbi2c9.pages.dev/150u9umtbi2c9.pages.dev/326u9umtbi2c9.pages.dev/23
duree de vie ratchet et clank ps5